L'association Juris-Intelligence dont l'objet est d'informer et de promouvoir le droit africain des affaires vous informe de la parution du premier numéro de sa revue trimestrielle, sous la direction scientifique des professeurs Philippe DELEBECQUE et Souleymane TOE.
La revue Lexbase Afrique-OHADA, sous la Direction scientifique du Professeur Ndiaw Diouf, a le plaisir de vous annoncer la parution de son 70e numéro.
La revue Lexbase Afrique-OHADA, sous la Direction scientifique du Professeur Ndiaw Diouf, a le plaisir de vous annoncer la parution de son 69e numéro.
L'IDEF vous informe de la publication à la Revue du Droit des Affaires en Afrique (RDAA) dans un numéro spécial, des articles primés à l'issue du Concours du Meilleur écrit OHADA 2022.
L'IDEF vous informe des publications au titre des mois d'avril à septembre 2023 des articles ci-après dans la « Revue du Droit des Affaires en Afrique », en abrégé « RDAA ».
Les Editions LegiAfrica ont le plaisir d’annoncer au public la mise en ligne, sur la base de données www.legiafrica.com, du sixième numéro du « Bulletin de Jurisprudence de Droit Bancaire » en abrégé BJDB.
La revue Lexbase Afrique-OHADA, sous la Direction scientifique du Professeur Ndiaw Diouf, a le plaisir de vous annoncer la parution de son 68ème numéro et le dernier avant la pause estivale.
La revue Lexbase Afrique-OHADA, sous la Direction scientifique du Professeur Ndiaw Diouf, a le plaisir de vous annoncer la parution de son 67e numéro.
Les règles de droit sont réglementées la plupart du temps sans beaucoup de difficultés, presque toutes les notions étant éprouvées, pour avoir fait l'objet de savantes constructions juridiques, débattues en doctrine et en jurisprudence, consacrées par les différents législateurs. Mais, il en est encore pour lesquelles le consensus a du mal à se faire, du fait de l'obscurité de leurs dispositions légales ou de leurs fondements pas assez solides.
Après des décennies d'édiction de règles de droit dans nos pays, il existe encore beaucoup de situations qui échappent à la réglementation. Il n'y a pas d'autre choix que d'y remédier. Il en est ainsi toujours du secteur informel de l'économie, malgré l'existence de règles internes et de celles issues de l'Organisation pour l'harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA). Celles-ci auraient dû prendre en considération ce phénomène dès le départ pour être davantage en phase avec les réalités économiques et sociales des Etats concernés.