Rencontre débat sur le droit OHADA le 24 mars à partir de 15h30 à l'Ecole Normale d'Administration et de Magistrature (ENAM) de Ouagadougou
Cercle Ohada du Burkina, dans le cadre de son programme d'activités 2011, organise une rencontre débat le
jeudi 24 mars 2011 à l'Ecole Normale d'Administration et de Magistrature (ENAM) de Ouagadougou sur le thème
« l'OHADA : état des lieux plus de quinze ans après l'adoption du traité ». Cette rencontre d'échanges avec les élèves-magistrats et greffiers de la promotion 2010-2011 verra la participation de personnes ressources dont monsieur
DA M. Eric, Président de la Commission Nationale pour l'Harmonisation du Droit des Affaires (CONAHDA) du Burkina, monsieur
Alfred BAMA, Président de Cercle OHADA du Burkina.
Cette rencontre sera l'occasion de présenter aux futurs magistrats et greffiers du Burkina Faso, l'OHADA depuis ses origines et le droit OHADA à travers son application dans les différents Etats de même que le processus de révision des Actes uniformes en cours (
Lire la lettre d'information du 12 mars 2011) avec notamment la refonte de
l'Acte Uniforme sur les Sûretés (AUS) et
l'Acte Uniforme relatif au Droit Commercial Général (AUDCG) mais aussi son avenir avec la problématique de l'élargissement de son champs matériel et son extension par l'adhésion de nouveaux Etats comme la RDC.
A l'issue de cette rencontre, les participants bénéficieront de la remise d'un important lot du premier numéro de
« FOCUS OHADA », Bulletin Trimestriel d'Information sur le Droit et la Jurisprudence OHADA, édité par Cercle OHADA du Burkina avec l'appui de ses partenaires.
Date :
jeudi 24 mars 2011 à partir de 15h30
Lieu :
Ecole Normale d'Administration et de Magistrature (ENAM) à Ouagadougou
Ensemble, construisons l'Afrique de demain !
Pour tout renseignement contacter :
Cercle OHADA du Burkina
Tel. : +226 75 31 57 92 ou +226 78 27 00 74
E-mail :
cerclohadaburkina@yahoo.fr /
cerclohadaburkina@ohada.com
16/03/2011 18h55 NYIA ENGON
Est ce possible d'avoir les documents de cette rencontre
pensez à vos doctorants qui ne peuvent pas être au burkina