Fédération des Clubs OHADA du Cameroun : composition du nouveau bureau
La Fédération des Clubs OHADA du Cameroun a un nouveau bureau composé comme suit :
I. Président Général : Monsieur
Henri TCHANTCHOU, magistrat, procureur de la République près les tribunaux de Fouban.
II. Directoire des étudiants
- Président :
Fernand FONKUI, auditeur de justice en fin de formation.
III. Directoire des professions libérales, des magistrats et des secteurs professionnels
- Président : Maître
Jean Michel MBOCK BIUMLA, avocat au Barreau du Cameroun.
- Secrétaire général : Monsieur
Tertio NKONGA, juriste, cadre à la SGBC, Douala.
IV. Services rattachés au Président et au Secrétaire Général
1. Administrateur central :
Samuel VICTOR BAPES, cadre comptable de banque à la retraite.
2. Assistantes administratives et juridiques :
- Maître Danielle MOUKOURI, avocat en stage au Barreau du Cameroun, Douala.
- Elise NJOCK, étudiante en cycle de master à l'Université Catholique d'Afrique Centrale, Yaoundé.
3. Assistante chargée des relations publiques et recherche des sponsors permanents et ponctuels :
Michèle NDOKI, cadre juridique, Guinness Cameroun.
4. Assistant chargé des relations avec les institutions internationales :
Mesmer GEUYOU, avocat au Barreau de Nanterre et à la Cour Pénale Internationale de la HAYE.
V. Sites et antennes pilotes en vue de l'informatisation des services et création des bibliothèques OHADA
- Région de l'est, chef de site pilote : Benoit MBALLA, Magistrat, Président du Tribunal de Première Instance de Bertoua,
- Région de l'ouest, chef de site pilote, Henri TCHANTCHOU, magistrat, procureur de la République, Fouban,
- Région du centre, chef de site pilote, Theo EPOH, magistrat, juge au Tribunal de Première Instance d'Eseka.
Pour toute information, merci de contacter :
Maitre
Jean Michel Mbock
Email :
mbockbiumla@yahoo.fr
Tél. : +237 99 90 00 58
26/04/2011 19h08 CYRILLE MONKAM
Je salue fortement cette initiative, même comme elle est restreinte au corps de la magistrature. J'aimerai surtout les voir à pied d'oeuvre sur le terrain et qu'ils pensent désormais à inclure des étudiants du tas et non de "l'élite".