Cérémonie officielle de remise d'ouvrages OHADA au NIGER grâce au don de la société AREVA
- 07/03/2007
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Ce don d'ouvrages prouve si besoin en était, que le droit OHADA n'est pas l'affaire des seuls juristes que nous sommes, mais de toute la communauté active en général, et celle des Affaires en particulier, qu'il a du reste, vocation à régir.
Aussi, le commentaire succint que je puis faire, se présente sous la forme d'un voeu : que de tels gestes inspirent d'autres opérateurs économiques, afin qu'ils nous aident à diffuser davantage le droit OHADA en le rendant plus accessible aux étudiants, enseignants, chercheurs, auxiliaires de justice, juristes d'entreprises, etc...
Je suis étudiante en Droit au Burkina Faso mais je suis de nationalité nigérienne. Cette information m'a particulièrement fait plaisir à un moment où je me posais des questions sur l'actualité du Droit OHADA au Niger par rapport aux pays membres de l'organisation. Je remercie en même temps tous les acteurs qui ont permis ce don pour l'université de Niamey. Je me réjouis également d'apprendre par votre newsletter que le Niger en assure la présidence, information qui m'était inconnue. Merci pour le message.
06/10/2007 19h28 ABDEL AZIZ KABA
Je suis étudiant en droit des affaires et j'aimerais saluer le fait qu'il existe un espace d'harmonisation de ce droit en Afrique. Aussi je tiens à féliciter des actions telles que les dons d'ouvrages OHADA, la tenue de conférences-débats, rencontres, la création des clubs sans oublier les innovations au niveau des textes et surtout dans des matières nouvelles. Je tiens aussi à informer l'UNIDA qui fait son possible pour vulgariser l'OHADA de s'intéresser un peu à la GUINEE-Conakry. Ici on n'a pas assez les moyens pour s'offrir des ouvrages compte tenue de la cherté de vie. Je peux vous dire que tous les étudiants Guinéens y sont concernés. C'est l'une des raisons qui m'ont poussées à faire ce commentaire. J'espère que vous prendrez en requête en considération. Merci d'avance