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Actualité

Conférence-débat, placée sous le haut patronage de la Cour Commune de Justice et d'Arbitrage le 17 avril 2013 à Abidjan (Côte d'Ivoire)

couv.-ouvrage-S.-KWEMONous avons le plaisir de vous informer qu'une conférence-débat sera organisée à l'occasion de la sortie de l'ouvrage intitulé « l'OHADA et le secteur informel, l'exemple du Cameroun », de Stéphanie KWEMO, Docteur en droit des affaires et Avocat au Barreau de Paris.

La conférence-débat, placée sous le haut patronage de la CCJA, se tiendra le 17 avril 2013 à Abidjan (Côte d'Ivoire) dans la salle des audiences de la CCJA, à partir de 10 heures précises, et sera suivie d'une séance de dédicaces et d'un apéritif.

Intervenants :

  • Professeur Antoine OLIVEIRA, Président de la CCJA ;
  • Docteur François KOMOIN, Président du Tribunal de Commerce d'Abidjan ;
  • Maître Joachim BILE-AKA, Bâtonnier de l'ordre des Avocats de Côte d'Ivoire* ;
  • Docteur Stéphanie KWEMO, Avocat au Barreau de Paris.

*Sous réserve de confirmation.

Cette conférence-débat intéressera les pouvoirs publics, les magistrats, les avocats spécialisés en droit des affaires, les juristes d'entreprise, les chefs d'entreprise, les organisations patronales, mais également les professionnels de l'économie comme les banquiers et les institutions de micro-finance, ou encore les professeurs et les étudiants.

L'entrée est gratuite mais l'inscription est obligatoire, le nombre de places étant limité.

Inscription par courriel à l'adresse suivante :

Mademoiselle Stéphanie KWEMO
Email : steph.kwemo@yahoo.fr

Résumé de l'ouvrage :

Cet ouvrage nous fait découvrir l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA), créée par le Traité de Port-Louis (île Maurice) du 19 octobre 1993 et entré en vigueur le 18 septembre 1995. Afin de créer un espace économique doté d'une sécurité juridique susceptible d'attirer les investissements étrangers et de consolider les investissements nationaux, les Etats membres se sont fortement inspirés du droit des affaires français, le contexte socio-économique africain n'ayant pas été suffisamment pris en compte dans la mise en place de ce dispositif.

Le tissu économique des pays membres de l'OHADA se caractérise par la prédominance du secteur informel sur le secteur formel. Cette étude nous présente le cas du Cameroun dont le secteur informel compte un peu plus de 90% des emplois. Ainsi, bien que ce secteur soit le moteur du développement économique en Afrique, le législateur de l'OHADA n'en a pas suffisamment tenu compte lors de l'élaboration des actes normatifs. Le cadre juridique est donc inadapté au secteur informel. Or, pour que l'intégration économique africaine réussisse (c'est l'un des objectifs de l'OHADA), il est nécessaire de considérer tous les acteurs de la vie économique. L'étude vise en ce sens l'identification des mesures qui pourraient être prises dans le cadre de l'espace OHADA d'une part et dans le cadre national camerounais d'autre part, pour élaborer une législation appropriée au secteur informel, le résultat recherché étant la migration progressive des opérateurs du secteur informel vers le secteur formel de l'économie.

Commentaires

  • 09/04/2013 21h47 STEPHANIE KWEMO

    Je vous remercie pour tous vos encouragements et pour l'intérêt porté à mon ouvrage. Pour tous ceux qui souhaitent participer à la conférence-débat, je vous prie de m'écrire à mon adresse: steph.kwemo@yahoo.fr, et je vous ferai parvenir une invitation.

  • 09/04/2013 14h04 MAITRE BAKUMBA BOFAYA CHRIS - CICERON

    Ce débat est si intéressant qu'il pourrait dans le même contexte se transposer a mon pays la République Démocratique du Congo qui vient de ratifie le traite ainsi que les actes uniformes de l'OHADA et ou désormais le Droit OHADA s'applique dans les affaires
    Pourriez vous m'a envoyer très vite une invitation pour y participer?
    Dans l'attente, je demeure...
    Enfin, a quel prix se procurer ce livre avec dédicace de l'auteur...

  • 09/04/2013 02h20 BOSSO FLORENCE

    Je suis heureuse que cette dédicace se passe dans mon pays.Félicitation à toute l'équipe.
    Je pense qu'il est temps pour l'OHADA de penser au secteur informel en aidant ce secteur à mieux s'organiser.

  • 01/04/2013 22h38 JOSHUA

    le Droit et en particulier le Droit des affaires étant une matière en perpétuelle évolution et constante métamorphose, il apparait convenable et juste d'en actualiser les réflexions.

  • 01/04/2013 15h21 BELMOND

    Enfin, il est grand temps de penser à un système juridique peut être inspiré d'ailleurs mais nécessairement adapté aux réalités locales

  • 30/03/2013 22h59 FREJUS FANGOU

    Toutes mes felicitations stephanie,genial mais je savais que la dedicace se préparait pour le cameroun dommage!car j'ai bien voulu assisté faute de transport, ce n'est pas grave ,vivement que tout se passe bien

  • 30/03/2013 14h08 NAFRO

    merci pour cette information.
    Mais nous qui ne sommes pas a Abidjan comment allons nous faire pour assister a cette importante conference?

  • 29/03/2013 18h54 REGINALDO RIOCHI SOPALE

    Hello:
    I am so interested about OHADA and his jobs, i'm studing in Spain, i´m post graduatated in REY JUAN CARLOS´UNIVERSITY, i want to know about you and join you.
    thanks.

  • 29/03/2013 18h35 OLIVIER LUPEMA MAHANGAIKO

    J'aime tout de bon sur ohada, par manque de moyen financier ou invitation, je ne sais comment participer aux différents séminaires organisés à travers le monde. Courage à vous pour l'amélioration de climat des affaires en république démocratique du Congo mon pays. Profils : gestionnaire comptable, fiscaliste et informaticien travaillant au journal officiel de la rac.merci. Se/olivier.

  • 29/03/2013 11h50 SEYDINA DIOP

    merci encore une fois de plus nous encourageons ce genre d'initiative qui pense développer l Afrique en tenant compte de tous ses aspects.
    Ce que je regrette c'est je ne pourrai pas y assister car je suis au Sénégal et pas de moyens de voyager.
    BONNE CHANCE

  • 29/03/2013 10h27 BENJAMIN CODJO AGBOE

    Dans nos pays africains nous aimons trop parler du secteur informel car en matière d'assiette fiscale, ce secteur est absent. Mais en réalité c'est le canal de distribution du secteur formel. Donc les deux secteurs sont a priori complémentaires. Mais le problème devient plus compliqué lorsque de manière frauduleuse, le secteur informel arrive à importer des biens qu'il met lui même sur le marché. Et bien dans ce domaine c'est l'Etat qui n'aurait pas bien fait son travail. Sinon le secteur informel n'est pas autorisé à importer car ne possède pas la carte de commerce. Autre chose à considérer c'est de ne pas confondre commerce des produits prohibés et secteur informel. Voilà ma petite contribution sur le sujet.

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