Comme partisan de l'harmonisation du droit des affaires en Afrique , je ne peux que me rejouir et souhaiter plein succès à ce nouveu journal, dont notre ésperance est que cela ne soit accessible à tous;
encore une fois bravo à l'OHADA
Réponse à Paterne
Il faut savoir que la diffusion presse par avion est très coûteuse, ce qui impose un prix plancher à tous les éditeurs internationaux. En attendant qu'un entrepreneur africain bien inspiré crée un réseau de diffusion panafricain qui permettra d'imprimer sur le continent.
Bonjour,
Je suis très fier qu'un journal de ce genre paraisse, enfin!
Mais je suis désolé de dire - cet avis n'engage que moi- que je reste quand même septique quant à la fiabilité et la modernité des instruments d'analyse de ceux qui ont la charge de produire l'information attendue par le public que nous sommes. Ce n'est pas une façon pour moi de jetter du discrédit à ce journal mais juste pour lui demander de nous fournir aussi des garanties sur les sources d'informations. car si je prends l'exemple de mon pays, le cameroun, depuis que le recensement général a été achevé, nous n'avons toujours pas les résultats et quand je pense à la manière dont celà c'est déroulé, S' il se base sur cet indicateur, j'ai peur que toutes les analyses risquent d'être biaisées.
Sinon je suis de tout coeur avec vous et beaucoup de courage !!
Les éternels râleurs voudraient que nous éditions un journal sans nous soucier des lois du marché et de la réalité du continent, la fleur au fusil !
Oui, diffuser en Afrique coûte très cher. Et le prix où nous vendons ce journal en Afrique avec transport presse par avion est le prix plancher exigé par la diffusion.
Que les donneurs de leçons commencent par apprendre la modestie et les régles qui régissent l'économie d'un journal. Ou bien qu'ils essaient de faire mieux.
Dominique Flaux
Directeur de la publication
Voici un journal africain, rédigé en Afrique, mais qui coûtera plus cher en Afrique qu'en Europe...L'inverse aurait pu facilement se concevoir, si l'on tient compte des pouvoirs d'achat dans l'un et l'autre continent.
J'accueille favorablement cette nouvelle publication spécialisée dans le domaine de la Finance. La participation de l'OHADA est même applaudie tant il est vrai que le droit OHADA participe en certains de ces actes uniformes à la construction d'un droit du crédit moderne en Afrique. Et peut être, cela n'a pas encore été bien introduit dans la pratique quotidienne des affaires à cause de la mal-gouvernance et des résistances au niveau des tribunaux.
Salutations
Bonjour.
Trés bonne initiative; et longue vie au journal; nous espérons qu'on pourra le lire en ligne.
Merci et bonne journée
Mes sincères felicitations aux initiateurs de ce journal qui sans doute seront en mesure de nous mettre à la page sur tous les marchés africains.
Est - ce qu'il tiendra aussi compte du marché Financier Congolais qui à ma connaissance n'a pas encore des entreprise côtée en bourse?
24/07/2007 15h17 DIALLO MAMADOU DIOUHE
Je suis vraiment content de la parution de ce journal mais je le trouve trop cher pour nous guinéens. Veuiller revoir si possible le prix