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Parution d'un nouvel ouvrage OHADA : Comment constituer le capital social en droit positif congolais / Etude évolutive et comparative sur la législation des sociétés commerciales en droit congolais

couvertureVotre site www.ohada.com est heureux de vous informer de la parution d'un nouvel ouvrage OHADA : Comment constituer le capital social en droit positif congolais / Etude évolutive et comparative sur la législation des sociétés commerciales en droit congolais. Cet ouvrage de Monsieur Majimawa Leka Wilfrid a été édité aux Edition Universitaires Européennes.

En considérant que le capital social joue le même rôle que la fondation lors de la construction d'une maison, l'étude du capital social présente un intérêt réel et sacramental en droit des sociétés commerciales.

Pourtant, réduire le capital social à une simple garantie serait une façon de mettre de coté d'autres fonctions que joue le capital social à la constitution d'une société. En ce sens, le capital social constitue non seulement une garantie des créanciers sociaux mais aussi un moyen de financement efficace qui permet à la société d'atteindre le but pour lequel elle s'est assignée dans son objet.

En considération de ceci, le législateur de l'Ohada impose toutes les sociétés, sous peine de nullité, de disposer d'un capital social qui est indiqué dans ses statuts.

Ainsi, il importera de souligner l'avancée considérable des notions en droit des affaires en général et celles qui se rapportent au sujet susvisé en particulier.

Le droit positif congolais en matière des sociétés qu'est le droit OHADA apporte des solutions adaptées et des règles adéquates permettant, à cet effet, de combler les lacunes de l'ancienne législation congolaise des sociétés qui présentait, à notre sens, des insuffisances notoires et inadmissibles pour prétendre d'avoir des règles des affaires modernes.

En effet, l'évolution du droit congolais des sociétés sera constatée dans bon nombre des matières, mais pour ce qui est de notre analyse : Il appert que le nouvel acte uniforme relatif au droit SCGIE sacralise la notion du capital social aussi bien à la constitution que pendant le fonctionnement et dans toute la vie sociale.

Prix : 35.90 €
Maison d'édition : éditions universitaires européennes

Pour toute information complémentaire et toute acquisition, vous pouvez contacter :

MAJIMAWA LEKA WILFRID
Tél. : +243 8 13 08 49 86 / +243 8 52 29 88 35
Email : wilkcent3@outlook.fr
Skype : Wilfrid Majimawa

Ou consulter www.morebooks.de pour tout achat en ligne

Commentaires

  • 01/04/2016 11h26 OUATTARA SAN MOUSSA ROMUALD

    Bonjour ! Merci de m'informer s'il y a eu une rencontre regroupant les acteurs en charge des Fichiers Nationaux courant 2014 ou 2015 et quels ont été les participants (joindre la liste si possible), le lieu de la tenue de cette rencontre et quelle a été l'issue de la rencontre. Excellente journée.

  • 31/03/2016 17h45 WILFRID MAJIMAWA

    Merci à vous tous pour vos encouragements, je suis très flatté de vous voir si nombreux intéresser par ce présent opuscule. Trouvez ici l'expression de ma haute considération.

  • 29/03/2016 12h18 DAVID PATRICK TOUTOUM

    Toutes mes félicitations et mes encouragements à l'auteur de cet ouvrage qui n'interpelle pas seulement le droit congolais et ses acteurs, mais l'ensemble de la communauté juridique OHADA. En effet, le capital social joue un rôle indéniable aussi bien dans les sociétés commerciales que dans les sociétés coopératives. Et cet ouvrage en sus des autres traitant d'une façon ou d'une autre du capital social, s'adresse aussi aux promoteurs de sociétés coopératives (avec l'avènement de l'acte uniforme du 15 décembre 2010) qui n'intègrent pas suffisamment la dimension "sacramentale" du capital social dans la vie des sociétés commerciales en général et coopératives en particulier. Cet ouvrage est donc le bienvenu!!!

  • 29/03/2016 10h05 SERGE DIDIER BOBIONGONO

    Je tiens tout d'abord à féliciter l'auteur pour cet ouvrage qu'il vient de publier car comme nous le savons tous, plusieurs entreprises sont créées en Afrique avec des capitaux fictifs. L'auteur l'a lui même précisé en disant que "le capital social joue le même rôle que la fondation lors de la construction d'une maison", cela veut tout simplement dire que si cette dernière n'est pas solide la maison va s'écrouler.
    Il est de ce fait important que le législateur soit regardant de ce côté, cela permettrai non seulement
    d'assurer la survie de l'entreprise, mais aussi la sauvegarde de certains emplois pour un bon équilibre social.

  • 28/03/2016 23h42 JEAN OTAMBO

    Je suis fier de l'auteur, qui, éprit du juridisme a voulu mettre à la disposition des praticiens du droit, aussi bien à ceux du monde scientifique un ouvrage de telle envergure.

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