Report pour les 19 et 20 mars 2015 du Colloque international organisé par l'ERSUMA à Douala, initialement prévu les 12 et 13 mars 2015
- 17/02/2015
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Le Directeur Général de l'ERSUMA communique au Président, au Vice-président, aux Rapporteurs, aux Intervenants et à tous les participants qu'en raison de la tenue d'une Réunion extraordinaire du Conseil des Ministres de l'OHADA sous la Présidence de la République de Côte d'Ivoire les 12 et 13 mars 2015 à Abidjan, le Colloque international qu'organise l'Ecole Régionale Supérieure de la Magistrature (ERSUMA) des Etats membres de l'OHADA sur le thème : « La responsabilité du dirigeant social en droit OHADA », prévu à la même période à la Salle de Conférences du Groupement Interpatronal du Cameroun (GICAM) à Douala, est reporté pour se tenir les 19 et 20 mars 2015 au même lieu et dans les mêmes conditions (voir l'nnonce initiale sur le site www.ohada.org).
Le Directeur Général informe tous que de nouvelles réservations et/ou invitations seront envoyées dans les plus brefs délais.
Le Directeur Général de l'ERSUMA présente ses excuses pour les désagréments éventuels causés par ce nouveau report indépendant de sa volonté et compte sur la présence effective de tous pour assurer plein succès aux travaux.
Pour donner un éclat particulier au colloque, le Directeur Général annonce que l'ERSUMA offrira gracieusement un kit documentaire à tous, constitué d'un ouvrage sur les cours de droit pénal des affaires dispensés par l'ERSUMA de 1999 à 2014 et un autre ouvrage portant sur les cours dispensés par l'ERSUMA en droit des sociétés commerciales et du groupement d'intérêt économique de 1999 à 2014.
Fait à Porto-Novo, le 16 février 2015
Dr. Félix ONANA ETOUNDI
23/12/2015 17h44 KAMGA TEKOGNO MARCEL
Bonjour monsieur,
Je suis Monsieur KAMGA TEKOGNO Marcel je suis juriste de Banque passionné de Droit des affaires et particulièrement du droit OHADA . j'aimerais vivement avoir le kit de formation sur le séminaire et les documents y afférents.
Dans l'attente d'une suite favorable, recevez monsieur mes sincères civilités